Comment la culture générale de la vigne et du vin se met au service de l’œnotourisme ?

Réservoir de storytelling

« Le vin est l’une des choses les plus civilisées du monde », aimait dire
Hemingway. Même si le vin est un produit de civilisation, un véritable produit culturel, il est malheureusement méconnu en tant que tel. Dommage, c’est une porte ouverte sur une encyclopédie de connaissances : peu de savoirs et de savoirs-faire ne tombent dans le champ de la vigne et du vin … Dommage aussi, c’est un réservoir d’histoires formidables, insolites, originales – ce fameux storytelling propre à intéresser toutes les clientèles œnotouristiques, œnophiles, épicuriens ou curieux.

Source de différenciation

L’une des mesures en faveur de l’œnotourisme présentées par Hervé Novelli lors des premières Assises Nationales de l’Œnotourisme consiste à « encourager la mise en valeur du patrimoine œnoculturel de chaque destination ». Pour une raison simple ; c’est dans la connaissance de sa culture propre, de son histoire, de son patrimoine que chaque vignoble peut lire sa fierté et son identité, séquencer son  ADN, et rendre lisible et attractif son visage caché.

Atelier de création œnotouristique

Enfin, à partir de la meilleure connaissance de ses patrimoines œnoculturels, chaque vignoble peut créer produits et prestations œnotouristiques authentiques et originaux.

André Deyrieux, déjà créateur en 2005 du webmagazine de l’œnotourisme
Winetourisminfrance.com, a développé une méthode – méthode PVM – pour mener à bien ce travail inédit de patrimonialisation, de valorisation et de mise en marché des héritages œnoculturels. Elle est déjà utilisée par de nombreux vignobles et destinations œnotouristiques.